✖ TON HISTOIRE

une citation

Je suis née un quatre février, un jour enneigé. Lorsque ma mère, m'a mise au monde, j'avais déjà deux frères aînés. J'ai grandi, plus vite que les autres. Apprenant à me débrouiller seule, à l'âge de six ans, pendant que mes parents et mes frères travaillaient. Nous n'avons pas toujours eu la vie facile, malgré quatre travailleurs sur cinq, dans la famille ce point convenable. Lorsque j'avais neuf ans, mon grand frère (le plus jeune) est parti dans une arène, vraiment horrible ! Les Hunter Games m'as dis maman. Il avait 19 ans, et il s'est fait tué, par un vilain monsieur du Capitol ! Mon frère aîné à présent, avait vingt deux ans, et ne pouvait pas aller le remplacer dans l'arène, et il s'est fait tuer horriblement sous nos yeux, tristes. Des semaines durant, nous avons pleurés sa mort, puis il nous est revenu. Dans une grande boîte, morbide. Lui à l'intérieur, les yeux clos, et son cœur ne battant plus, ayant à tout jamais dix-neuf, et disparu de toute civilisation, et de notre vie. Et puis il est venu mon tour, combattante hors pair, je m'entraînait jour et nuit avec mon frère, puisque j'avais l'âge d'aller dans une arène. Et nous avons eu raison, puisque j'ai été la Captive du département de la pêche. A la corne, j'ai réussi à attraper une épée, et j'ai fait des ravages, croyez-moi. Quiconque personne venait, il n'en ressortait pas vivant. Chaque jour, j'était immaculée de sang, frais et séché. J'ai tué un bourreau, et cinq captifs. Paix à eux. Il me fallait ressortir de cette arène, et j'ai réussi. Lorsqu'on m'a proposée d'être un bourreau, ou entraînée les prochains captifs, je n'ai hésité, je voulais retournée, auprès de ma famille. J'ai vu, le garçon de mon département, se faire décapiter sous mes yeux, par un bourreau. Celui que j'ai tué, lors du troisième jour, le lendemain de l'assassinat du Captif. TU PAIERAS POUR SA MORT, ENFOIRÉ ! lui avais-je hurlée, à la figure. Mais il m'avait évidemment blessée, je n'allai pas ressortir indemne d'un combat contre un garçon sur-entraîné, croyez moi. Il m'avait mordu le nez, et griffé violemment la joue. Une idée soudaine, celle qui à du me coûter la victoire, était celle de lui cracher le sang qui venait s'incruster dans ma bouche. Et j'ai eu raison, puisque lui crachant sur les yeux, j'ai eu assez de temps pour pouvoir le tuer. J'ai passée la fin de la journée, à être là, sans pas faire grand chose, attendant qu'un ennemi pointe le bout de son nez. J'avais étanché les saignements, avec un bout de ma tenue, et j'avais mangée un peu durant la journée. Nous n'étions plus que neuf en comptant les bourreau dans l'arène, soit encore cinq à abattre. Anéantie, par le meurtre de mon coéquipier, j'ai subit un trouble mental. Je suis bouleversée, depuis ce soir là. J'ai au moins pu le venger, en tuant son meurtrier, me disais-je chaque jour dans ma tête. Mais sa mort me hante, je ne l'avais pas défendu, mais nous étions chacun de notre côté dans l'arène. Je courrais, ce soir là. Pour me trouver un coin, caché au yeux de tous. Et je l'avais vu, grimpant dans cet arbre, se faire tuer. Il l'avait écorché de partout, et il était bien affaibli. Je savais qu'il ne pourrait pas s'en sortir, mais j'ai voulu me débarrasser de cet enfoiré, qui l'a tué. J'ai sauté de mon arbre, en ayant laissé mon sac dedans, pour ne pas qu'il me gêne, épée en main. J'était sur lui, pendant qu'il essayait de me frapper, et me blesser. POURQUOI ? lui ai-je hurlé au visage. Il m'a juste fait un sourire, et c'était celui de trop. Je l'ai achevé, sa fin arrivait. Et je l'ai causée, prématurément. Il devait avoir vingt ans, environ. Après, je n'ai plus cherchée à m'attachée, rien qu'à ma famille. Et j'ai pensée à eux, ils m'ont en quelque sorte sauvée la vie. En pensant à eux, mon courage et ma force, n'avait aucune limite. J'ai cinq personne avant d'être contre cette Captive du troisième département, celui de la technologie. Eux qui ont eut plusieurs gagnants, n'en auront pas un nouveau. Elle était gravement blessée, et moi aussi. Mais moi qu'elle, et j'ai eu l'avantage. Elle avait seize ans, et je voyais bien au sang séché sur son visage, qu'elle avait tuée elle aussi. T'en as tuée combien, toi ? lui ais-je demandée, en tournant autour d'elle, puisqu'elle n'avait plus d'armes, et moi ma fidèle épée. Notre combat s'est passé près de la corne, et j'en était bien contente, parce qu'avec mon agilité je grimpais sans cesse sur la corne.

FLASH BACK DE L'ARENE - COMBAT FINAL.
J'en avais marre, il ne restait qu'une Captive avec moi, et deux bourreau. Si j'avais tuée quatre captifs, je comptais tuée la dernière, mon sixième meurtre. Il y avait un banquet, puisque les juges ont décidés, qu'il n'y avait pas assez d'action. Evidemment, les bourreau y était aussi. Et des soins, évidemment. Et de la nourriture, j'avais regardée la captive, et il restait quatre bourreaux. Deux en sortiraient maximum, ont s'est jetée un regard du genre "On les tuent, et on s'affronte ?", et on avait eu raison. Se battre au milieu de quatre mecs sur-entraîné qui ne veulent que ta mort, c'est galère. On s'est placée dos à dos, et une arme avait été posée sur la table du banquet, elle à couru, évitant les bourreaux qui chargeait sur elle, elle à attraper cette épée. Elle à n'a pas eu le temps de faire un tour de la table, pour me rejoindre en me battant avec un bourreau, qu'elle s'est prise une lame d'épée dans la jambe, et elle est tombée. Un bourreau s'est pointé devant moi, mais avec deux coups de pieds bien placé - entre les deux jambes et sur le torse - il a basculé, en arrière et je l'ai tué. Six meurtres. On y va de bon train dis donc. J'ai couru vers Elora - qu'elle s'appelait -, et j'ai poussée ce bourreau, et elle l'a achevé. Les deux autres, sont restés en arrière. Puisqu'ils avaient bien compris, que là c'étaient les machines à tuer, devant eux. Et pas des trouillardes. On a compris qu'on devait se battre, alors j'ai fait face contre mon ennemie, à présent et j'ai chargée sur elle, à pleine puissance. J'était plus forte qu'elle, j'en ressortirait, avec ces deux bourreau point final. On a roulé au sol, jusqu'à que ce soit elle qui soit au dessus de moi, et je lui ai crachée au visage, son emprise s'est desserrée de moi, et j'ai couru vers la corne, voulant l'escalader, mais un peu trop lentement, puisque lorsque je grimpais elle à saisi mon pied, et l'a violemment tirée, me faisant alors tombée au sol. Et tout s'est passée très vite, j'ai paré le moindre de ses coups, et la lame de mon épée à ricoché contre la sienne, et je l'ai attrapée, mes épées - à présent -, une devant son cou et l'autre derrière, je l'ai tuée. Achevée. Et je me suis écroulée, évanouie au sol.